Le viande
J'ai déjà apporté une réponse plus que satisfaisante à mes titres plus que bizarres, en revanche je suis fatigué, et cela vous ne le savez pas. C'est en fait à cause des deux dernières nuits, que je n'ai absolument pas passées à dormir, mais plutôt à somnoler, de la plus incohérente des manières. Je ne fais pas le roman de ma piètre existance, que je ne puis estimer autant ni même plus que celle d'autres animaux évolués comme la pince à linge ou le marteau (animaux qui du reste continuent, dans le sillage de l'Homme, à se rendre indispensables, vous pensez bien)
AINSI, aujourd'hui, je ne vous parlerait pas de mon idylle passionnée, ni du carrot cake dont je me suis proprement baffré. Du reste, je ne sais pas s'il y a un rapport entre ces deux éléments, si je suis amoureux du carrot cake ou si le carrot cake est amoureux de moi. Ce n'est pas la question, vous en conviendrez.
Non, non, je ne parlerais pas de moi, je m'y refuse. Laissez donc à ceux qui me connaissent ce soin-là, ils le feront avec délectation.
Cela veut dire qu'aujourd'hui, je parlerais de... de... pinces à linge. Remarquez que ces choses n'atteignent pas en bêtise la largesse des balais, et...
C'est bien dur, que tout ceci. Je vais retrouver les bras, non de Morphée, qui est un homme comme peu de gens le savent, mais soit d'un carrot cake, soit d'une autre chose, peut être, si elle le peut, une personne.
Ce qu'il y a de foncièrement fascinant chez les humains, c'est ce qui remplace chez eux le ronronnement des chats; c'est le son infime que fait l'omoplate sous une main sûre. Un peu d'érotisme omoplataire.
Je suis navré du peu d'intêret de ce blogue en ce moment, il viendra que peut être cela s'arrangera, peut être.