Complément de traîtement

J'avoue, j'attendais que d'autres aient donné leur avis sur l'histoire présentée il y a plus d'une semaine. Mais n'ayant pas eu beaucoup de réponses, je vais la donner;

Oui, cette histoire est la stricte et romanesque vérité, elle n'est faite que de personnes humaines, et réelles qui vivent encore de nos jours;

Oui, je suis un des personnages de cette histoire;

Non, je ne suis pas l'ami de M. Himère;

Non, M. Himère n'est pas mon vrai nom, c'est un nom d'emprunt;

Non, je ne vous donnerais ni les coordonnées, ni même le nom, de cet "amis" qui ne pouvait pas souffrir d'utiliser son portable pour me prévenir quand nous avions convenu d'un rendez vous, et qui me laissait payer le café quand il héritait de sommes importantes,  et qui sommes toute n'était pas un méchant homme.

Ce sont les personnes réelles, qui définissent la norme de bizarrité des personnages de fiction; nous pouvons donc conclure ainsi: la question n'est pas  de savoir si c'était triste d'exister parce que les gens sont bizarres, mais bien que les gens sont bizarres  parce que c'est triste d'exister.Ou quelquechose comme cela.

Ah, et prochainement, avant en tous cas que je n'oublie: retenez ce nom, vous n'en entendrez plus parler: Albaricoque.

Comments

[abricot]

J'avais raison ! J'avais tout compris la semaine dernière !

[Monsieur]

Oui, monsieur Zetron, mais il faut avant tout avoir un regard spécial sur ce qui nous arrive: si j'avais dit cette histoire de la sorte "Avec ce gros pervers de *** on s'est rincé l'oeil hier!! trop classe!!" vous n'auriez pas trouvé ça étrange, et pourtant ç'aurait été la même histoire!

[Zetron]

T'as l'air d'avoir une vie absurde... veinard :(