Réveil (variation)
C'est une variation pour cette adaptation d'un lied de Malher
Nous, matin, deux bottes, fracassant matin,
levés, et agréables, pour un gros pantin
dégustons et rendons bon petit-déjeuner
sûr de nous dans la chambre de la bien-aimée
cinquante-neuf dans dix mètres carré.
Nous, matin, rencontrâmes un Uruguyen
Au coeur d'un combat qui n'exprimait rien
Ramasse tes affaires,
ö guerrier mon frère
Voici qu'apparaît l'horrible ennemi!
Lentement après un carnage,
Les corps rangés l'ennemi en nage
les frères se réveillent au son du tambour,
et en tuant l'ennemi pris au dépourvu,
rejoignent en courant la fenêtre de leur cher viel amour,
Ca lui en fiche un coup. Elle n'en a pas tant vu.
Elle est déjà morte
Il porte des bottes noires
Il est devant, il joue bas, pour que tous puissent le voir.
Je deviens fou!
Peut-être. Ou pas du tout.